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LES MILLE ET UN FANTÔMES.

les lui porta en lui annonçant qu’elle était veuve.

Cette même lettre lui demandait pour moi la permission de continuer mes voyages, permission qui me fut accordée.

Mon intention bien positive était de me fixer en France ou en Allemagne, pour ne point me trouver en face d’un homme qui me détestait et que je ne pouvais aimer, c’est-à-dire du mari de ma mère, quand, tout à coup, j’appris que le comte Giordaki Koproli venait d’être assassiné, à ce que l’on disait, par les anciens Cosaques de mon père.

Je me hâtai de revenir ; j’aimais ma