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LES MILLE ET UN FANTÔMES.

Smérande, traduites par Grégoriska, que par un gémissement.

Je remontai dans ma chambre, le convoi s’éloigna. Je le vis disparaître à l’angle du chemin. Le couvent de Hango n’était qu’à une demi-lieue du château, en droite ligne ; mais les obstacles du sol forçaient la route de dévier, et, en suivant la route, il s’éloignait de près de deux heures.

Nous étions au mois de novembre. Les journées étaient redevenues froides et courtes. À cinq heures du soir, il faisait nuit close.

Vers sept heures, je vis reparaître des torches. C’était le cortège funèbre qui