prit ses jambes à son cou et détala avec une
vitesse de grand express.
Amande resta soudain seule. Elle se mit debout en riant à demi, puis eut un peu honte de devoir remettre de l’ordre en ses vêtements devant le témoin de sa demi-défaite.
— Méfiez-vous, ma petite dame, fit alors l’obligeant défenseur en saluant. Il ne faut pas trop en faire voir à ces gars-là.
Il guignait du regard un morceau de cuisse, au-dessus du bas, qui ne voulait pas disparaître.
— Et puis, conclut-il, vous me semblez un peu vêtue légèrement pour être en mesure de vous défendre contre un guerrier de ce mordant…
À son retour, Amande refroidie décida de repartir tout de suite pour Paris, et sans nouvelle attente. Le lendemain, on débarquait à la gare de Lyon.
Ici, on trouverait sans doute à se faire séduire sans perdre contact avec les peaux blanches…