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Avant de se séparer de son neveu, Montbars lui fit présent d’une admirable carabine, et, l’embrassant avec tendresse :
— Au revoir, Louis, lui dit-il ; bientôt, crois-moi, nous nous retrouverons réunis ! Oh ! ne te récries point !… Tu ne connais pas mes projets !… D’ici à peu de temps, tu viendras me demander à servir sous mes ordres !… Je parle avec certitude de cause… Adieu !… Encore une fois me voici seul !…
— Non, Montbars, répondit le jeune