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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome IX, 1853.djvu/132

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revoir, se serait consolée à la longue. Après tout, je préfère de beaucoup vous avoir vivant. Jeanne sera de suite heureuse.

Une heure plus tard, de Morvan prenait congé de Montbars et se disposait à suivre le Boucanier, lorsque le Bas-Breton Alain, équipé en costume de voyage, se présenta devant son maître.

Le Penmarkais avait l’air radieux.

— Je vais donc reboire du cidre et revoir le portrait de ma bonne Sainte-Anne-d’Auray, dit-il.