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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome IX, 1853.djvu/202

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Desrosiers sourit.

— Voilà ce que c’est que de vivre dans les villes, jeune homme, dit-il, on y prend des habitudes routinières, et l’on arrive à la vieillesse sans avoir connu ce qui est bon.

Le Boucanier cassa alors les os et avala la moelle chaude encore qu’ils contenaient ; ce régal parut lui être des plus agréables. La chasse recommença.

Chaque fois que le Boucanier abattait un taureau, les engagés écorchaient l’a-