Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome XI, 1853.djvu/153

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L’amiral frémissant de rage, dut subir, sans murmurer, cette dernière humiliation !

— À présent, il te reste à me faire reconnaître comme ton supérieur par tes officiers, dit Montbars qui, ouvrant aussitôt la porte, appela l’état-major de l’amiral, pendant que le baron remettait un peu d’ordre dans sa toilette et faisait disparaître les morceaux de la lame de son épée.

— Messieurs, dit l’amiral en s’adressant à ses officiers, M. de Montbars vient