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de mon esprit… Je finis par me repentir amèrement de l’ingratitude que je lui avais montrée, mieux encore, par regretter le bonheur que j’avais si follement repoussé en lui… aujourd’hui que je suis libre, que la mort de mon honoré et noble père me force de chercher un appui ; aujourd’hui qu’un hasard vraiment providentiel et dans lequel se montre le doigt de Dieu, a mis de nouveau le comte de Morvan sur ma route, tu dois aisément concevoir, Fleur-des-Bois, quels sont mes projets.
— Mais mon chevalier Louis ne t’aime