Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome XI, 1853.djvu/37

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terey qu’elles marquèrent de sillons sanglants.

— J’ai entendu les gémissements de mon frère ! s’écria Montbars, il me faut aussi entendre l’agonie de son meurtrier.

S’élançant alors vers Sandoval, le flibustier détacha le bâillon qui lui étouffait la voix !

Il est de ces tableaux hideux qu’une plume ne doit jamais retracer !