Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome XI, 1853.djvu/38

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Le supplice du comte de Monterey dura sans interruption, sans trêve, pendant plus de deux heures, deux siècles !…

Une fois que le grand d’Espagne ne fut plus qu’un informe cadavre, de Montbars jeta loin de lui la cuirasse dont il s’était revêtu, et entraînant de Morvan qui, pâle comme un mort, n’avait pas, durant tout le cours de l’horrible exécution, prononcé une seule parole :

— À présent que nous avons accompli