Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome I, 1853.djvu/108

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n’ayant aperçu aucun navire, ils ne devaient pas s’embarquer.

Alain, tout joyeux en songeant que si son premier souhait avait été si vite exaucé, il ne pouvait manquer d’en être de même du second, et que par conséquent la nuit ne se passerait pas sans amener de nombreux débris sur la plage, s’empressa de hâter le pas pour atteindre la maison de son maître avant le commencement de la tempête.

De larges gouttes de pluie, qui tombaient lourdement à intervalles iné-