Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome I, 1853.djvu/135

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— Ce dernier coup de tonnerre ? Certes ! Pourquoi cette question ?

— Pour rien, dit Alain en replongeant à moitié sa tête dans son écuelle.

— Ce coup de tonnerre annonce-t-il donc, d’après toi, la fin ou le redoublement de l’orage ?

— Pour moi, monsieur le chevalier ! il ne m’annonce rien du tout ! répondit Alain en ingurgitant une énorme cuillerée de bouillie. J’ai parlé pour parler.

Une minute s’était à peine écoulée,