Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome I, 1853.djvu/16

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Je commençai dès ce moment à recueillir soigneusement sur ma route les matériaux confus et épars qui pouvaient m’être de quelque utilité dans l’accomplissement de ce projet.

Cinq ans plus tard, — j’étais seulement de retour à Paris depuis un mois, — je me rendais à la Bibliothèque royale, pensant toujours à mes boucaniers, et presque ému à l’idée que j’allais enfin connaître la mystérieuse odyssée des fondateurs de Saint-Domingue.

Hélas ! combien mon espoir fut déçu !