Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome I, 1853.djvu/171

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dant que je vais essayer de m’orienter.

— Je ne connais rien aux exercices maritimes et je fais probablement une détestable besogne, lui répondit Mathurin, mais quant à être fatigué, je ne le suis pas. Toutefois, je boirai volontiers une gorgée d’eau-de-vie.

— Rien de plus facile, dit de Morvan en dépliant son manteau dans lequel il avait mis ses pistolets pour les garantir de l’atteinte de la mer, j’en ai justement emporté une bouteille avec moi. Prenez.