Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome I, 1853.djvu/185

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chevalier et lui dit d’une voix calme, en s’exprimant en français.

— Le capitaine vous prie, monsieur, de sauver d’abord ma fille, puis de nous envoyer du secours dès que vous aurez atteint la terre.

Les secondes valaient des heures : de Morvan sentit que s’il entrait dans des explications il compromettrait inutilement son retour ; aussi se hâta-t-il de répondre à l’homme vêtu de noir.

— Aidez-moi donc, monsieur, à sauver votre fille.