Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome I, 1853.djvu/209

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ni le dévoûment, quand donc disparaîtras-tu à jamais de la terre !

— Mademoiselle, répondit de Morvan en faisant un effort sur lui-même pour ne rien laisser paraître de son émotion, vous vous méprenez étrangement sur le caractère et sur la position de ceux qui ont en ce moment l’honneur de jouer leur vie pour essayer de sauver la vôtre. Je suis, moi, un gentilhomme, et les deux personnes qui m’accompagnent m’ont suivi par pur dévoûment !…

Je vous demande pardon, mon-