Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome I, 1853.djvu/212

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tête du père de Nativa alla frapper avec violence contre les parois de l’embarcation.

Cette terrible secousse tira l’inconnu de son évanouissement.

Il balbutia d’abord quelques mots incohérents et sans suite ; puis, bientôt il reconnut sa fille, lui sourit doucement, et se replaça de lui-même dans la position première qu’il occupait, tout en murmurant :

— Je suis brisé, je n’en puis plus !