Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome I, 1853.djvu/211

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

le voyez, mademoiselle, aucune excuse à m’adresser !…

Nativa comprit au ton d’amertume avec lequel le jeune homme fit cette réponse, combien elle avait dû le blesser.

Elle allait réitérer avec plus de force ses excuses, quand une vague énorme heurta l’embarcation, qu’elle manqua de renverser.

Entraînée par ce choc de dessus les genoux de sa fille, où elle reposait, la