Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome I, 1853.djvu/272

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vous ayez trouvé auprès des jeunes seigneurs de Pennenrosè, les égards et les hommages qui vous sont dus ?

— Mon père, à une grande faiblesse près, que lui a laissée la violente secousse qu’il a éprouvée, est complètement rétabli ; notre malheureux équipage, dont les embarcations ont été brisées lors du naufrage, a été impitoyablement massacré par les habitants de Penmark. Quant aux seigneurs du château, il me serait difficile d’émettre une opinion sur leur compte, car je les ai à peine entrevus.

Ces dernières paroles semblèrent cau-