Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome I, 1853.djvu/278

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Alain d’un ton de regret : je vois que je me suis trop pressé : j’aurais pu économiser les cierges ! Bah ! ajouta-t-il après un court moment de réflexion, il serait retombé malade ! Et puis, j’avais promis, et la parole d’un honnête homme est une chose sacrée ; seulement j’espère bien, ma bonne sainte Anne d’Auray, que vous me tiendrez compte de ma bonne foi, et que vous ne refuserez pas à me faire encore crédit quand l’occasion s’en présentera.

Nativa que les façons d’Alain semblaient divertir beaucoup, avait été obligée d’imposer silence par un regard à