Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome I, 1853.djvu/279

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de Morvan, indigné du sans-façon du Bas-Breton.

— Au revoir, chevalier, lui dit-elle, ne grondez point votre domestique, qui me paraît vous être fort attaché, et que je prends sous ma protection. Je reviendrai demain savoir de vos nouvelles. Encore une fois, au revoir !

Le regard reconnaissant par lequel de Morvan répondit à ces paroles valait plus qu’un long discours ; cette muette éloquence du cœur ne dut pas échapper à la sagacité de Nativa.