Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome I, 1853.djvu/320

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les rapports une sécurité complète, soyez assuré que votre pension vous sera très exactement payée au domicile que vous voudrez bien m’indiquer.

Cette offre mystérieuse répugnait à ma délicatesse, je refusai.

Je vous jure ; sur mon honneur d’honnête homme et sur le salut de mon âme, me dit l’armateur, que vous pouvez accepter sans crainte : cette pension vient d’un de vos parents et n’a rien de blessant pour votre amour-propre.