Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome I, 1853.djvu/34

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

joie que j’oubliai, plongé avidement dans ma lecture, et Madame veuve Cardinal, et l’endroit où je me trouvais, et les pratiques qui encombraient l’étroit et obscur cabinet littéraire.

Ce Louis de Morvan, dont il était question dans la plupart des lettres que mon aïeul et mon grand oncle, le marquis de Cadusch et l’amiral Bruix — les deux beaux-frères — s’écrivaient, était justement ce même personnage qui, en excitant vivement ma curiosité, m’avait donné l’idée d’écrire l’histoire de Boucaniers.

La trouvaille de Madame veuve Car-