Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome I, 1853.djvu/35

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dinal me semblait par ce motif si merveilleuse et si extraordinaire, que je ne pouvais me résoudre à y croire.

La nuit me surprit appuyé debout contre une étagère et lisant toujours.

Il y avait quatre heures que j’étais dans cette même position, et j’avais dévoré trois volumes lorsque la maîtresse de la maison m’avertit qu’il était temps pour moi d’aller dîner.

Je serrai énergiquement sous mon