Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome I, 1853.djvu/36

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bras les bienheureux volumes, et je demandai à Madame veuve Cardinal quel prix elle voulait me les vendre, tout en lui faisant loyalement observer que cet ouvrage, publié en Hollande, n’ayant été tiré, ainsi que le déclarait l’auteur dans sa préface, qu’au nombre restreint de cent exemplaires, devait se payer plus cher que la plupart des romans contemporains de son époque.

Les livres de Madame veuve Cardinal sont ses enfants.

Sa réponse à ma proposition déplacée