Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome I, 1853.djvu/56

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

semblable à une décharge d’artillerie et rebondit de rochers en rochers.

Louis de Morvan, comme s’il eût voulu chasser une idée fixe qui l’importunait, passa à plusieurs reprises sa main sur son front, et se levant vivement de dessus son fauteuil, se dirigea vers une fenêtre qui donnait sur la mer.

À peine venait-il de s’accouder sur la grossière barre de bois qui servait d’appui ou de balustrade, qu’un bruit bizarre : et étrange, dominant le murmure des vagues qui venaient mourir sur les