Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome I, 1853.djvu/99

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avec M. le chevalier, pour lui obéir, il m’a serré d’une telle force, que tous mes os en ont craqué, et que si ce n’était le respect que je lui devais et l’éducation que j’ai reçue, je me serais mis à crier comme un chat qu’on échaude.

— Dis-moi, a-t-il plusieurs maîtresses, le chevalier ?

À cette question, Alain rougit, et, regardant le cavalier avec des yeux étincelants :

— Si vous vous figurez avoir le droit