Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome II, 1853.djvu/21

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raine, la reine Marie-Louise, qui m’affectionnait particulièrement, me gardait toujours auprès d’elle et daignait, à ses heures de loisir et de tristesse, s’occuper de mon éducation, que je dois de savoir le français.

De Morvan s’inclina et Nativa s’éloigna alors dans la direction du Château.

La charmante Espagnole avait fait à peine une trentaine de pas, quand le gentilhomme breton vit tomber, enlevé sans doute par le vent, un ruban rouge