Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome II, 1853.djvu/57

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

avait été question, et de Morvan finit par s’avouer que Nativa, tout en acceptant son dévoûment, à lui, avait complètement réservé sa liberté, à elle.

Une fois sur le chemin de la logique, l’esprit du gentilhomme ne s’arrêta plus.

Ce fut pourtant en vain qu’il tenta de s’expliquer les contradictions et les bizarreries réellement extraordinaires qu’il avait remarquées, à diverses reprises, dans les paroles et dans les actions de la jeune fille : il sentait qu’il y avait là un