Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome II, 1853.djvu/58

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mystère que sa sagacité na parvenait pas à expliquer.

Enfin la dernière question qu’il se posa fut celle de savoir si Nativa était une généreuse nature ou un mauvais cœur, et cette question, il n’osa, — quelqu’amoureux qu’il fût, — la résoudre.

Toutefois la conclusion, qu’il tira de toutes ces réflexions fut qu’il n’y avait rien au monde, d’enchanteur, d’adorable, de parfait comme Nativa, et qu’il devait se trouver trop heureux de lui