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Page:Duplessis - Les Boucaniers (Montbars l'exterminateur), Tome IV, 1853.djvu/133

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l’exterminateur.

ne m’en avez rien dit, chère Françoise ! C’eût été un si grand bonheur pour moi, car, je vous le répète, je suis en fonds, de vous être utile !… C’est bien le moins, ce me semble, qu’entre frère et sœur on se soutienne et l’on partage. Et puis-je vous demander, bonne et généreuse sœur, quelle somme a produit la vente de vos écuries ?

— Cinq cent mille livres à peu près !

— Tudieu ! c’est là un joli denier !