Page:Duplessis - Les Boucaniers (Montbars l'exterminateur), Tome IV, 1853.djvu/276

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silencieuses le long des joues du boucanier, brunies par le soleil des tropiques.

— Oui, je pleure, répondit Legoff sans songer à cacher sa faiblesse, car ton père, vois-tu, mon brave Louis, avait un cœur comme on n’en retrouve plus sur la terre ; et il m’aimait… ah ! il m’aimait… comme on ne m’aimera plus !

— Je ferai de mon mieux pour le remplacer auprès de vous.