Page:Duplessis - Les Boucaniers (Montbars l'exterminateur), Tome IV, 1853.djvu/316

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pas mal de cierges… Ne le tuons pas… Il se repentira plus tard… Voilà, poursuivit Alain, ce que ma bonne Sainte-Anne d’Auray se sera dit… Il me semble que je l’entends se tenir ce raisonnement… Décidément, je dois payer mon péché… cherchons une église…

Le hasard se chargea de répondre au désir du Bas-Breton, car, levant alors les yeux, il s’aperçut qu’il était devant Saint-Roch : il entra.

Le serviteur de Morvan possédait, pour toute fortune, le reste de l’écu dont il