Page:Duplessis - Les Boucaniers (Montbars l'exterminateur), Tome V, 1853.djvu/63

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

tout à la fois dans la parole du boucanier ; le souvenir qu’il évoquait était d’une telle puissance sur l’esprit du gentilhomme, que, vaincu, subjugué par une force supérieure à sa volonté et à son orgueil il céda.

— Monseigneur, balbutia-t-il, en fléchissant le genou devant le duc de Chartres, et en lui présentant son épée par la garde, je m’accuse d’un moment de folie, et j’attends vos ordres.

— Relevez-vous, monsieur, et reprenez votre épée dont la France a besoin,