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un monde

mouchoirs si chèrement et si dangereusement disputés.

La concurrence s’était déployée avec tant d’énergie et de force, que le plus favorisé tenait à peine entre ses mains un petit lambeau de toile ou de coton…

Une fois le monte-parnasso terminé, parurent dans l’arène cinq à six ânes de l’espèce la plus mesquine et la plus chétive, montés par des Indiens grotesquement déguises en généraux anglais. Le torril, ouvert de nouveau, donna passage à deux taureaux magnifiques, mais ces taureaux, du moins, avaient les cornes sciées à leurs extrémités et garnies en outre, de deux tampons de cuir. Cette fois, le danger disparaissant en partie, la gaîté et le rire reprenaient leur empire.

Les Indiens-généraux, armés d’une courte