Page:Duranty - Les Combats de Françoise du Quesnoy.djvu/305

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douce, que nous ne changiez plus tard d’opinion sur lui.

— Mais je le connais parfaitement, et vous aussi, qui n’avez jamais eu le sens commun, répliqua la baronne avec beaucoup de colère de ce qu’on doutait de son jugement.

— Alors je pars, dit assez tristement Françoise en la regardant avec un reste d’espoir.

La baronne leva les épaules en signe d’impuissance.

— Allons, pensa Françoise, voici les ronces qui se redressent sous mes pas. Mais Allart est sauvé ! elles peuvent me déchirer !

Un instant après, elle se jetait dans les bras de Mlle  Guay en lui disant : Je viens demeurer chez toi !