Vois-tu ! je ne perdrais le jour.
Qu’après l’étreinte du retour.
C’est un rêve ! il en faut ainsi
Pour traverser un long souci.
C’est mon cœur qui bat : le voici.
Il monte à toi comme une flamme !
Partage ce rêve, ô mon âme !
C’est une prière de femme,
C’est mon souffle en ce triste lieu,
C’est le ciel depuis notre adieu !
Prends ! car c’est ma croyance en Dieu !