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Page:Duval - Roi des aventuriers, 1916.djvu/82

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— Sachez, « Monsieur Poiroteau », répliqua sévèrement le chevalier, que je ne permets à personne de faire l’éloge ou la critique de mes actes.

— Je le sais, monsieur le Comte, mais vous permettrez que je ne vous quitte pas avant que vous n’ayiez fait fortune.

— Très bien, « César » ! En ce cas, j’augmente vos gages mensuels de vingt francs. En revanche, vous tâcherez, par votre discrétion et votre… désintéressement, de vous montrer digne de votre maître.


FIN

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