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CHAPITRE VIII
SOMMAIRE :
S’étourdir. — Je m’abandonne à mon triste sort. — De quoi se composait ma vie. — Je n’ai jamais eu qu’une passion. — Perplexités. — e m’adresse à ma mère. — Secours inattendu. — Madame de Couradilles. — Une jolie entremetteuse. — Proposition tentante. — Situation tragique. — Suprêmes préparatifs.
’eus assez d’empire sur moi-même
pour ne faire aucune récrimination,
n’adresser à mon mari aucun reproche.
Quoi que je lui eusse dit, au surplus, je me serais donné une peine inutile ; il aurait toujours eu raison.
N’ayant jamais eu d’autre occupation que de