Page:E. Quinet - Merlin l'Enchanteur tome 2, 1860.djvu/385

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

LIVRE XXIV

TRIOMPHE ! Ô TRIOMPHE !


I

Ils sont finis, les voyages des trois vies. D’autres reprendront le même chemin, mais non pas moi. Il me faut dire ici adieu à toutes les choses sereines qui m’ont donné la paix.

Amis, je remets entre vos mains le rameau de coudrier qui m’a fait pénétrer dans le pays de Merlin sans crainte de m’égarer. Tenez ! voici les clefs des mondes enchantés. Ouvrez-les à votre tour. Vous savez maintenant comme la route est aisée à travers les salles innombrables de la maison de la justice.