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leuse d’Irlande. Sur tous ces sujets le comte parla avec beaucoup de savoir et d’enthousiasme. Mais enfin, à la grande satisfaction du colonel Heathcock, une belle collation parut dans la salle à manger, dont Ulick ouvrit la porte, à deux battans.
« Comte, vous avez fait de votre château une excellente maison, » dit lady Dashfort.
« Oui, quand elle sera achevée, » dit le comte ; « mais je crains, » ajouta-t-il, « d’être comme beaucoup d’autres particuliers d’Irlande, qui vivent dans l’espoir d’avoir une bonne maison, mais qui ne l’ont jamais. J’ai commencé sur un plan trop vaste, et je ne vivrai jamais assez pour en achever l’exécution. »
« D’honneur ! voilà une très-bonne chose, et j’espère que nous aurons le