sidération seroit capable de m’arrêter. Si vous daigniez, Milord, continuer de vivre ici, et partager avec nous ! — Mais je vois que cette proposition ne vous agrée pas ; c’est ma femme qui a eu cette idée ; je n’aurois pas dû vous en parler. Faites-moi donc le plaisir de me spécifier la somme qui vous plaira ; car vous avez le droit de vivre en gentilhomme comme vous avez toujours fait, et personne ne le sait mieux que moi. Veuillez donc écrire sur un morceau de papier ce que vous désirez toucher, et personne ne le touchera que vous ; je ne regarderois plus comme mon fils celui qui seroit capable de vous priver de cette somme. Je vais descendre, et j’attendrai que vous écriviez votre volonté là-dessus. »
Je fus profondément touché de la générosité de cet homme. J’acceptai