Page:Eggis - Voyages aux pays du cœur, 1853.djvu/123

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Il calme de la mer les vagues débordées,
Aigle impossible, il a l’immensité pour nid.


Sa plume est le soleil, son poëme le monde ;
Les monts et les forêts que la tempête émonde
Les océans profonds que tord le vent du flux,


Sont les notes sans fin de sa vaste harmonie,
L’homme est l’écho complet de son œuvre infinie.
— Ce poëte, c’est Dieu ; mais on ne le lit plus.