Page:Eggis - Voyages aux pays du cœur, 1853.djvu/133

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Tu préféras, debout dans ta fierté sublime,
Au servage des cieux le sceptre de l’abîme
Où tu moules à tous un funèbre cercueil ;

Agrandissant l’enfer pour y mettre tes haines,
Tu règnes maintenant dans les feux des géhennes,
Plus puissant que la mort et plus grand que l’orgueil.