Page:Eggis - Voyages aux pays du cœur, 1853.djvu/136

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Hourrah !
Mes tempes ruissellent,
Mes yeux étincellent,
Mes jambes chancellent.

Hourrah !
L’ivresse s’augmente,
La bière écumante
Dans les brocs fermente.

Hourrah !
Près de moi tout roule,
Et le vent enroule