Page:Eggis - Voyages aux pays du cœur, 1853.djvu/142

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Sous le vent qui la rase,
La maison fuit sa base
Dans un affreux émoi.





Mon âme s’évapore
Et chaque atome ailé
S’enfuit par chaque pore
Comme d’un pot fêlé ;

Ma longue chevelure
Sur mon front basané,
Danse avec une allure
À tuer un damné.

Mes membres s’élargissent
Et baisent le soleil,