Page:Eggis - Voyages aux pays du cœur, 1853.djvu/147

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

Et ses cordes d’azur
Frissonnaient comme un saule.





C’était l’ange de l’amour,
Une lumière divine
S’épanchait de sa poitrine
Comme l’aube d’un beau jour.

Du luth les cordes sensibles
Palpitèrent sous ses doigts,
Et des hymnes indicibles
S’écoulèrent de sa voix.






Son chant était si doux et sa voix si suave
Que dès qu’il se mit à chanter,