Page:Eggis - Voyages aux pays du cœur, 1853.djvu/210

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Tout cœur qui se retire
Pour pleurer en secret
Et dont nul ne connaît
L’invisible martyre.
III
Mais le monde est immense, et bien avant le soir,
Sous mon propre deuil je succombe ; —
Mais je puis dire à tous : — Mes frères, au revoir,
Au grand rendez-vous de la tombe.