Page:Eggis - Voyages aux pays du cœur, 1853.djvu/67

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Vous ne vous fardez pas de souffrances postiches ;
Les cris de votre cœur scandent vos hémistiches,
Et votre désespoir vous a fait trouver Dieu.

De l’amour dans vos vers pleurent les longs orages ;
Votre livre, oasis aux verdoyants parages,
Est doux comme : Je t’aime, et triste comme : Adieu.