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LE CHANT DE LA BOHÊME.




à mon ami alexandre guérin.


I

La poésie au cœur et la harpe à l’épaule,
Libres comme l’éclair dont s’embrase le pôle ;
Nous marchons sous le grand ciel bleu.
Appuyant notre main sur un bâton de saule,
En chantant l’avenir et Dieu.